Nos grands-parents ou nos arrière-grands-parents ne connaissaient pas ca ne rien faire Chaque travaux de la maisonnée occupait leur temps et chaque minute était consacrée à la création de quelque chose d’utile et de nécessaire à la vie quotidienne. Ils étaient très auto-suffisant.
Le printemps arrivé, le temps des sucres terminé et avant de pouvoir travailler la terre, les femmes de la maison fabriquaient le savon du pays. Pendant tout l’hiver, les femmes ramassaient tout leur gras et suif qui leur tombaient sous la main.
Ils avaient déjà la récupération ancré dans dans leur mode de vie. On a rien inventé
Elles sortaient les grosses marmites en fonte et s’installaient dehors sur un feu de bois. Nos grands-mères faisaient bouillonner les graisses pour en retirer le savon. Tous les résidus et gras étaient incorporer et ensuite filtré. On y ajoutait du caustique, de la résine, de l’eau et de la lessive que les gens de la campagne appelaient lessi et qui était obtenue en filtrant de l’eau bouilli avec de la cendre de bois franc.
Une fois solidifié après une nuit de repos on lui le découpait en morceau et on le rangeait précieusement pour les besoins futurs.
C’est ainsi qu’on fabriquait le si fabuleux savon du pays.
Rien ne dément le fait que les connaissances de nos aïeules n’aient été un héritage des Gaulois mêmes, auquel on attribue le mérite d’avoir découvert la propriété d’un savon préparé avec de la cendre et le suif. Ensuite l’évolution à nos jours du savon est ce qu’elle est.
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